Catégorie: Accueil
20 Minutes - "J'ai coupé ma box et ça allait mieux" - 11/12/2013
11 Déc 2013 | Dans Accueil, Témoignages WiFi et Téléphones sans fils (DECT), Médias - Presse | Réagir » } ?>
Rapport développement des usages mobiles et principe de SOBRIETE
11 Déc 2013 | Dans Accueil } ?>
Lettre d'information N°2 - Novembre 2013
22 Nov 2013 | Dans Accueil, < Nos LETTRES D'INFORMATIONS > | Réagir » } ?>
Lettre n°2 d'information du mois de Novembre – Collectif des Electrosensibles de France
Rendez-vous à la DGS – des avancées à petits pas
Le 5 novembre, le collectif et Priartem étaient reçus à la Direction générale de la santé.
C'est dans un climat de bonne écoute que nous avons pu échanger sur l'ensemble de la problématique : prise en charge au niveau médical et social, urgence pour les plus atteints, vigilance sanitaire, prévention par la réduction des expositions...
Nous avons notamment réussi à faire admettre à la DGS la nécessité de mettre à l'abri les personnes en créant des centres de convalescence sans ondes. Les participants ont convenu que cette mise à l'abri est temporaire et doit être associée à une prise en charge globale pour éviter une désocialisation.
Nos différentes revendications relèvent de divers services de l'Etat. Nous déplorons que la DGS ne soit pas en mesure de coordonner ces différentes actions, laissant aux associations de malades le soin de faire le lien entre de nombreux ministères, services et structures dans une démarche épuisante. La demande d'un plan d'action coordonné et de nomination d'un référent est donc toujours d’actualité.
Lire le communiqué complet
Retour presse
Actu-Environnement - Electrosensibilité : premier pas de la DGS vers des pistes d'actions
Sud-Ouest - Ondes électromagnétiques : les fortes attentes des électrosensibles
01 Net - Ondes : l’État tend l’oreille aux revendications des électrosensibles
Viva Electrosensibles : bientôt des centres de convalescence sans ondes ?
Rencontre d'EHS sur Paris
A l'initiative d'une poignée de personnes qui se sont rencontrées lors de la journée organisée par le Collectif à Rambouillet en juin dernier ou par l'intermédiaire du forum, une rencontre conviviale dans un bar parisien proche de Bastille, vous est proposée.
Elle aura lieu soit le 27 novembre soit le 4 décembre à 18h.
Renseignements et inscription : http://www.electrosensible.org/contact/
Des films pour parler des ondes
Ondes, science et manigances
A l'origine de cette enquête palpitante, le combat d'un collectif de citoyens, membres de Priartem, contre l'installation d'une antenne trop proche des habitations. Parmi eux, un médecin, qui ne comprend pas pourquoi les autorités sanitaires penchent du côté de l'absence de risque pour la santé, alors que des études montrant la nocivité des ondes existent.
A travers les parcours de lanceurs d’alertes : citoyens, journalistes, scientifiques, ce film dévoile comment, à l’instar de l’industrie du tabac, le lobby de la téléphonie mobile a construit une stratégie de « défense de produit », en créant artificiellement un doute scientifique autour de la nocivité des ondes électromagnétiques afin de conserver une réglementation qui leur soit favorable.
Film de Nancy de Méritens et Jean Hêches, 105 minutes.
Voir la bande-annonce
La société de production indépendante, à l'origine de ce film, fait actuellement appel au financement participatif, pour recueillir les fonds nécessaires aux frais de distribution en salle de cinéma et à l'élaboration d'une version anglaise, afin de le diffuser au niveau international.
Priartem et Agir pour l'Environnement sont partenaires de l'opération.
Pour souscrire http://fr.ulule.com/ondes-science-et-manigances (Lien validé, mais pas encore actif)
Rexpoëde, un cas d'école
Une petite ville dans le Nord, une école et ses enfants, une cheminée couverte d'antennes-relais à moins de 100m. En deux ans, deux enfants déclarent des cancers du cerveau rarissimes chez l'enfant. Le film retrace la prise de conscience puis le combat des parents d'élèves, pour faire déplacer les antennes suspectées. Priartem a dénombré 6 cas d'écoles présentant de telles concentrations anormales de pathologies graves et rares chez l'enfant pour lesquelles les autorités sanitaires ne disposent pas de réponse.
Un film Priartem de Jean-Marc MELLONI et Isabelle CARI, 20 minutes.
Bonus du film de Marc Khanne
En attendant la sortie du film Cherche zone blanche désespérément, visionnez le témoignage d'Isabelle.
Projection-débat « Comment vivre avec les ondes électromagnétiques ? »
L'association « Les rencontres de Poigny » propose la projection du film « Rexpoëde : un cas d'école » suivi d'un débat en présence de Marie-Jeanne Potin, coordinatrice nationale de Priartem, Stéphane Loriot, électrosensible ordinaire, Sophie Pelletier, co-responsable du collectif.
Entrée gratuite, le vendredi 29 novembre à 20h30, salle du Marais à Poigny (78).
Plus d'info : http://www.poigny-la-foret.fr/rencontres_de_poigny.aspx
Dans la presse récemment
01Net - Antennes-relais : une électrosensible manifeste en haut d'une grue de chantier - 28/10/2013
Viva - Rendez-vous avec...Sophie Pelletier, hypersensible aux ondes – web et revue du mois de novembre
Le Journal de l'Environnement - Les malades des ondes ne veulent plus attendre (article complet visible, mais pour peu de temps, version également en PJ)
Journal de l'environnement - Une première zone blanche pour les électrosensibles aux radiofréquences? -31/10/2013
22 Nov 2013 | Dans Accueil, Médias - Presse } ?>

Saint-Julien-en-Beauchêne, capitale de l'électrosensibilité?
Les Hautes-Alpes pourraient accueillir la première zone blanche «officielle» de France: une centre d’accueil temporaire pour électrosensibles qui attribuent aux champs et ondes électromagnétiques quantité de souffrances physiques et morales- pourrait être ouvert d’ici deux à trois ans dans un petit village épargné par les antennes de téléphone mobile.
Le domaine de la Chartreuse deviendra-t-il le refuge des électrosensibles de France? Ce centre de vacances détenu par la caisse d’allocations familiales des Bouches-du-Rhône, sis sur la commune de Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes Alpes), pourrait être transformé d’ici deux à trois ans en un centre d’accueil temporaire pour ceux que l’exposition croissante aux champs ou aux ondes électromagnétiques jette dans une douleur physique, psychique ou morale. A environ 1.000 mètres d’altitude, cette commune de 120 habitants jouit d’une situation qui tend à se raréfier: elle est située en zone blanche, c’est-à-dire que l’on y capte très difficilement, voire pas du tout, de signal permettant de passer des appels avec un téléphone portable. Autant dire un paradis aux yeux des électrosensibles puisque, selon un rapport de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes, 99,82% de la population était couverte par les réseaux de téléphonie mobile en décembre 2009, pour 97,7% du territoire.
Village faiblement exposé
En 2011, deux femmes électrosensibles avaient trouvé refuge dans une grotte des alentours. C’est en leur rendant visite que nait chez Michèle Rivasi l’idée que ce petit coin préservé des ondes pourrait devenir un lieu d’accueil. L’eurodéputée écologiste s’attelle au projet. Un budget est consenti par le conseil régional de Provence-Alpes-Cotes d’Azur afin de procéder à des mesures des ondes électriques et radioélectriques sur place, menées cette semaine par le Centre de recherche et d’informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem). L’endroit s’avère très faiblement exposé.
Une fois finalisée la cartographie des expositions dans les bâtiments du centre de vacances –qui est délaissé depuis trois ans- des personnes électrosensibles à des degrés divers iront visiter les lieux, «pour évaluer leur ressenti biologique», précise Justine Arnaud, attachée parlementaire de Michèle Rivasi. Une étape qui pourrait intervenir avant Noël 2013. Quelques travaux seraient nécessaires alentours, comme la suppression d’une ligne moyenne tension ou l’ouverture de négociations avec les opérateurs de téléphone mobile pour diminuer encore les radiofréquences. «Parfois, on arrive à capter», précise Justine Arnaud. Un bail emphytéotique pourrait alors être passé avec la CAF.
Centre temporaire
Pas question, toutefois, de transformer Saint-Julien-en-Beauchêne en refuge européen pour électrosensibles. Le centre aurait vocation à accueillir, de façon temporaire, une trentaine de «personnes exclues, victimes de discrimination de se ressourcer», explique Michèle Rivasi. Un centre médical y serait installé, qui permettrait notamment de mieux étudier leurs symptômes et de les équiper avant qu’ils ne retournent vers le monde «réel».
Le projet est évalué à près de 2 millions d’euros (rénovation, blindage des réseaux électriques dans les bâtiments, chauffage, etc.). Une somme qui pourrait être prise en charge de façon conjointe par la réserve parlementaire des élus écologistes, des fonds européens, des collectivités locales ou par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), qui consacre des budgets de recherche à l’électrosensibilité. «Nous envisageons également de créer une société coopérative d’intérêt collectif, pour que les gens sensibles à la question puissent contribuer financièrement au projet», précise Justine Arnaud.
Les électrosensibles au ministère de la santé
Sophie Pelletier, du collectif des électrosensibles de France, voit d’un bon œil cette initiative «qui fait la démonstration que c’est possible». Mais elle estime que «c’est au ministère de la santé de prendre ce genre de projet en charge, sans se défausser». Le collectif et Priartem seront d’ailleurs reçues à la Direction générale de la santé le 5 novembre prochain. Seront notamment évoquées la charte et la plate-forme de revendications élaborées par les deux associations, afin de mettre en action des mesures de prévention que les pouvoirs publics sont plus que réticents à adopter.
Le 31 octobre 2013 par Marine JobertCommuniqué de presse du 5 novembre 2013 - DGS Pas de trêve hivernale pour les électrosensibles mais quelques avancées, à petits pas...
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Sud Ouest - Ondes électromagnétiques : les fortes attentes des électrosensibles - 05/11/2013
5 Nov 2013 | Dans Accueil, Médias - Presse | Réagir » } ?>

La cause des personnes victimes en France de l'électrosensibilité aux ondes (EHS) avance, doucement, mais sûrement. Le collectif des électrosensibles de France et Priartem ont déjà été reçus par le ministère de la Santé le 27 juin dernier, ouvrant ainsi la voie à une prise en considération du problème de l'hypersensibilité électromagnétique.
Ce mardi 5 novembre, ils ont rendez-vous avec la Direction Générale de la Santé (DGS), pour aborder la mise en oeuvre d'un plan d'action intégré, piloté par le Ministère de la Santé, en lien avec les autres ministères concernés.
"Urgence"
Pour Manuel Hervouet, fondateur du collectif des électrosensibles, il y a urgence : « chaque jour nous recevons de nouveaux témoignages de personnes qui souffrent à cause des wifi, des téléphones sans fil des voisins, des antennes,... . Certaines sont désespérées parce qu'elles ne peuvent pas rester dans leur logement, qu'elles risquent de perdre leur emploi, que leur santé se dégrade de jour en jour et que personne ne répond à leur demande... Dernier exemple en date de ce désespoir, cette dame à Antony, qui est montée dans une grue pour qu'on réponde à sa demande de logement moins irradié ! ».