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Lettre d'information - Octobre 2013
13 Oct 2013 | Dans Accueil, < Nos LETTRES D'INFORMATIONS > } ?>
Bonjour,
Voici notre lettre d'information du mois d'octobre.
Vous y trouverez des informations dans les différents axes qui structurent notre action.
Bien à vous,
L'équipe du Collectif des Electrosensibles de France - www.electrosensible.org
Schproum - l'électrosensibilité entre en littérature
Alors qu'il travaille à son nouveau roman, Jean-Yves Cendrey, écrivain français résidant à Berlin, est pris de maux étranges, qui s'atténuent lorsqu'il réside dans sa maison de campagne. Forçant sa propre incrédulité et devant l'impuissance des médecins à établir un diagnostic, il doit se rendre à l'évidence : il est devenu électrosensible et sa vie en sera bouleversée.
Nous avons pu rencontrer ce 8 octobre, l'auteur dans les locaux de sa maison d'édition, Actes Sud. Il nous a dit sa reconnaissance pour notre travail de fourmi à recueillir et mettre à disposition l'information. Nous avons pu échanger sur les médias, les politiques, la façon d'aborder ce sujet difficile. Nous le remercions chaleureusement pour cette rencontre et pour avoir fait de l'électrosensibilité un sujet de littérature. Grâce à ce témoignage d'un personnage public, la question de la nocivité des ondes et du rôle trouble de l'argent et de la politique dans la santé publique, devient de plus en plus audible.
Retrouvez l'interview de Jean-Yves Cendrey et un reportage d'Elsa Daynac auprès du collectif dans l'Humeur vagabonde de Kathlenn Evin sur France Inter (émission du lundi 7 octobre 2013)
Le Nouvel Obs - Enquêtes sur la santé
Ebranlée par le récit de Jean-Yves Cendrey, Odile Benyahia-Kouider a réalisé une enquête sur les vrais dangers des ondes, parue le 26 septembre.
http://www.electrosensible.org/b2/index.php/journaux-presse/nouvel-observateur-vrai-danger-011013
Sur France culture, le directeur de la publication, Laurent Joffrin remet en cause ses propres préjugés sur la question de l'électrosensibilité : "il y a plusieurs indices sérieux qui montrent qu'il y a une vraie question".
http://www.electrosensible.org/b2/index.php/accueil/france-culture-enquete-nouvel-obs-27-09-2013
La semaine suivante (parution du 3 octobre), à l'occasion de la sortie du livre Planète toxique d'André Cicolella (chercheur à l'INERIS, lanceur d'alerte, président du Réseau Environnement Santé, c'est la question de l'influence de l'environnement sur la santé qui est traitée par Guillaume Malaurie, avec un dossier de 13 pages, des cartes régions par régions et l'interview du député PS Gérard Bapt, rapporteur du budget de la Sécurité sociale.
Sur le net, l'évaluation du risque est abordée au travers d'un entretien avec Marc Mortureux, directeur de l'ANSES, récemment reconduit dans ses fonctions. A propos de l'avis de l'ANSES sur les radiofréquences, attendu pour le mardi 15 octobre, Marc Mortureux précise :"C’est un dossier extrêmement complexe où les études sont contradictoires mais où, je crois, que nous allons faire avancer là aussi la méthodologie. Par ailleurs un groupe de travail est constitué sur l’hyper électro-sensibilité. Ce n’est pas parce que nous ne comprenons pas le phénomène qu’il faut abandonner la recherche et laisser penser que ceux qui s’en disent victimes sont des fadas."
A noter que les contributions du collectif au comité de dialogue Radiofréquences et santé de l'ANSES ainsi que l'opération visibilité de 2012 (témoignages envoyés aux pouvoirs publics) ont largement contribué à crédibiliser le sujet de l'électrosensibilité et à l'aborder de manière novatrice.
La 4G : l'économie d'abord, la santé attendra
Mardi 1er octobre, à l'occasion du lancement de la 4G par l'opérateur Bouygues qui couvre désormais 63% de la population, Priartem, Agir pour l'Environnement et le collectif ont dénoncé la prédominance des questions économiques dans la gestion du dossier et le silence des autorités sanitaires et environnementales.
http://www.electrosensible.org/b2/index.php/communiques-presse/communique-lancement4g-fleurpellerin
Retour presse :
Janine Le Calvez, présidente de Priartem au Journal de 19 h de France Inter : http://www.electrosensible.org/b2/index.php/communiques-presse/communique-lancement4g-fleurpellerin#RetourPresse
Intervention du collectif sur Sud Radio : http://www.electrosensible.org/b2/index.php/medias-radio/intervention-du-collectif-sur-sud-radio
01 Net : http://www.electrosensible.org/b2/index.php/journaux-presse/01net-4g-les-electrosensibles-reclament-
Portables et santé : nouvelle étude suédoise une multiplication par 3 des risques de tumeur cérébrale au-delà de 25 ans d’utilisation du portable
C’est ce que nous apprend une étude épidémiologique publiée dans la revue International Journal of Oncology réalisée par une équipe suédoise dirigée par Lennart Hardell.
Les chercheurs ont travaillé sur la population âgée de 18 à 75 ans dont le cancer a été diagnostiqué entre 2007 et 2009 (593 cas). Une population-témoin contrôlée sur les critères d’âge et de sexe a été sélectionnée (1368 personnes). Globalement le risque est accru de 60% pour les utilisateurs de portables. Mais si l’on regarde plus précisément les utilisateurs de longue durée, le risque est nettement plus élevé : il double au-delà de 20 ans et triple au-delà de 25 ans.
Les chercheurs se sont également intéressés à l’usage du téléphone sans fil domestique – qui mobilise également les radiofréquences - et ont trouvé des résultats très comparables à ceux obtenus pour les téléphones mobiles.
Les chercheurs concluent que ces résultats confortent donc l’hypothèse d’un effet à la fois initiateur et promoteur des radiofréquences sur le cancer.
Le communiqué de Priartem : http://www.priartem.fr/Portables-et-sante-nouvelle-etude.html
Retour presse :
Journal de l'environnement : http://www.journaldelenvironnement.net/article/radiofrequences-3-fois-plus-de-risque-de-cancer-apres-25-ans-d-exposition,37447
Actu-Environnement : http://www.actu-environnement.com/ae/news/cancer-cerveau-etude-suede-risques-telehpones-portables-sans-fil-19649.php4
Diffusion du film Hors Champs à Marseille
Le film "Hors champs" sera projeté le 15 octobre à Marseille, dans le cadre du festival "RISC" (Rencontres Internationales Sciences et Cinémas).
La projection aura lieu à 16h30 au BMVR Alcazar, en présence de la réalisatrice et des organisateurs. L'entrée est libre.
Pour plus d'informations au sujet du
festival, vous pouvez consulter le programme:
http://www.pollymaggoo.org/doc_polly/risc-2013.html
voir également le site de
Marianne Estèbe
http://marianne-estebe.fr
Jean-Yves Cendrey, écrivain électrosensible - L'Humeur Vagabonde - France Inter - 07/10/2013
8 Oct 2013 | Dans Accueil, Médias - Radio | Réagir » } ?>
(photo : Actes Sud)
Selon le Petit Robert, schproum est un nom masculin, un peu « familier » comme l’est barouf, et qui signifie protestation ou dispute violente.
Faire du schproum c’est, en gros, mettre le souk. Ce titre de livre ne pouvait que plaire à Jean-Yves Cendrey, adepte de la littérature uppercut, de l’écriture close combat.
Or, en janvier 2013, Schproum avançait plutôt bien. Sous titré roman fauve, il contait l’histoire mouvementée des relations entre deux familles berlinoises d’origine polonaise, associées dans la même entreprise, que le sexe et l’argent vont pousser à l’affrontement. Le livre avançait plutôt pas mal, soixante pages en faisaient foi, lorsque l’auteur se mit à souffrir de maux étranges et inexpliqués….
Aujourd’hui Schproum vient de paraître aux éditions Actes Sud, mais il est dorénavant sous-titré roman avorté et récit de mon mal.
Les 60 pages du premier livre sont incluses dans le second qui, en quelque sorte lui sert de sarcophage, telle une coque de béton armé enfermant une centrale nucléaire accidentée. Car, Jean-Yves Cendrey n’a pu aller plus loin. Maux de tête atroces, insomnies, douleurs dans la jambe au point d’être obligé de s’appuyer sur une canne pour pouvoir se déplacer. Brûlure sur la nuque, vertiges, aphasie et des malaises qui l’ont amené aux urgences et chez des médecins qui n’ont rien compris à ce mal étrange dont il savait qu’il finirait par mourir. Jusqu’au jour où il a compris ce qui le rendait malade….
...mais c’est lui qui va nous le raconter, puisque Jean Yves Cendrey, redevenu lui-même, est, ce soir, l’invité de l’Humeur Vagabonde.
Le reportage d'Elsa Daynac
A la page 183 de Schproum, Jean-Yves Cendrey part en quête d’informations sur l’électrosensibilité. En deux clics, il atterrit sur : http://www.electrosensible.org/b2/index.php/accueil/
le Collectif des électrosensibles de France, « vers lesquels je presse chacun de se tourner », écrit-il.
Alors, on se tourne, et devant nous apparaissent Sophie Pelletier, Manuel Hervouet, et Céline, du Collectif des électrosensibles.
Dans leurs mains, il y a Schproum. Schproum qui parle de Jean-Yves, Schproum qui parle à tous, Schproum qui parle d’eux – Les tombés EHS sous une pluie d’ondes. Les échos résonnent entre leurs histoires peu communes. Il y a lui qui écrit. Il y a eux qui militent. Il y a elle qui vit...
Attention, il va y avoir du Schproum !
Appel de Fribourg 2002 : http://www.priartem.fr/Appel-de-Fribourg.html
Appel de Fribourg 2012 : http://www.electrosensible.org/b2/index.php/sante-alertes/medecin_allemand-2012
France culture - enquête Nouvel Obs - 27/09/2013
3 Oct 2013 | Dans Accueil | Réagir » } ?>
Extrait de Laurent Joffrin sur l'enquête Nouvel Obs
Émission Ce qui nous arrive Vendredi 27 / 09 / 2013 sur France Culture
Source : http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4708254 à 10'30
Nouvel Observateur - Portables, wi-fi, tablettes : les vrais dangers des ondes - 01/10/2013
2 Oct 2013 | Dans Accueil, Médias - Presse } ?>
Alors que Bouygues ouvre mardi son réseau 4G, les spécialistes se divisent sur les risques des objets high-tech sur la santé. Et s'ils étaient moins inoffensifs qu'on ne le croit ?





Les 14 commandements
1. Utiliser le téléphone portable le moins souvent et le moins longtemps possible.
2. Eviter de garder sur soi un portable en veille, car il envoie, toutes les dix minutes environ, un flash d'ondes à l'antenne la plus proche, et ce jour et nuit.
3. Ne pas garder un portable allumé sur sa table de nuit ou à proximité de la tête : les ondes émises interfèrent avec les ondes cérébrales et peuvent perturber le sommeil ou provoquer pertes de mémoire, maux de tête, vertiges...
4. Utiliser plutôt le mode "haut-parleur" ou un kit mains libres. Attention, l'oreillette réduit l'exposition mais ne l'annule pas.
5. Changer le côté d'utilisation du portable, l'étude Interphone ayant montré les risques liés à un usage unilatéral de longue durée.
6. Ne pas se déplacer en téléphonant, même à pied, le mobile émettant plus fortement afin de trouver l'antenne la plus proche.
7. Eviter de téléphoner en voiture, les ondes du portable, réfléchies par la structure métallique, se trouvant alors concentrées dans un petit espace.
8. Ne pas exposer passivement voisins et enfants à leur insu : le portable irradie jusqu'à 1,50 mètre. Ce conseil vaut tout particulièrement pour tout usage en milieu clos : autobus, train...
9. Pour les femmes enceintes, ne pas porter son combiné sur le ventre et, plus généralement, éviter au maximum son utilisation.
10. Pour tous les parents : doter le plus tard possible vos enfants d'un portable, leur cerveau absorbant plus de rayonnements que celui des adultes.
11. Privilégier les téléphones fixes filaires plutôt que les téléphones sans fil ou DECT qui émettent des radiofréquences.
12. Brancher le wi-fi uniquement lorsqu'on en a besoin.
13. Eviter les babyphones près de la tête des bébés.
14. Eviter de donner une tablette tactile aux enfants.
Version texte page 2:
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01Net - 4G : les électrosensibles réclament l’application d’un principe de précaution - 01/10/2013
1 Oct 2013 | Dans Accueil, Médias - Presse | Réagir » } ?>
Pour Fleur Pellerin, les études sont "contradictoires et il n’est pas question de jouer avec des peurs irrationnelles"
Le jour du lancement de la 4G, trois associations (Priartèm, Collectif des électrosensibles, Agir pour l’Environnement) réclament toujours des études sur les dangers des ondes sur la population.
Pascal Samama, le 01/10/13 à 15h21
Le 1er octobre va rester une date historique dans les télécommunications. C’est ce jour que la 4G a été lancée d’abord par Bouygues Télécom. Pour beaucoup, cette norme est un événement technologique et commercial qui offrira de nouveaux usages et des opportunités pour l’économie numérique.
Pour d’autres, elle reste une inquiétude de santé publique. C’est ce qu’estiment trois associations (Priartèm, Collectif des électrosensibles, Agir pour l’Environnement) qui reviennent à la charge pour tenter de rouvrir un dossier qu’ils s’impatientent de voir traiter par les autorités compétentes, en l’occurrence le ministère de la Santé. Sur la page d’accueil de son site, pas un mot sur le sujet. Il faut utiliser le moteur de recherche pour accéder à des informations datant de 2009. Depuis, c’est le silence.
« Aucune étude d'impact sanitaire »
Dans un communiqué envoyé ce 1er octobre, les trois associations veulent faire entendre une autre voix. Pour elles, « aucune étude d'impact sanitaire n'a été diligentée sur la 4G en dépit des signaux de risques et des plaintes récurrentes des riverains d'antennes et des électrosensibles, et à seulement quinze jours de la sortie de la mise à jour de l'évaluation des risques liés aux radiofréquences par l’Agence Nationale de Sécurité sanitaire et de l’environnement, cet épisode révèle une fois de plus la prédominance des questions économiques dans la gestion du dossier de la téléphonie mobile. »
Pour Sophie Pelletier, responsable du collectif des Electrosensibles, il y a « deux poids, deux mesures ». Cette « électrosensible », aucune étude n’a été menée sur les répercussions auxquelles sont confrontées les personnes vivant proches des antennes relais.
« Nous avons des études qui montrent que les effets des ondes ne sont pas si inoffensifs qu’on le dit », nous a affirmé Mme Pelletier évoquant les travaux de l’Ineris (Institut National de l’Environnement Industriel et des Risques) et de l’Université de Picardie Jules-Verne à Amiens.
En 2012, ces deux instituts ont exposé de jeunes rats à une fréquence de 900 Mhz à une puissance de 1 volt/mètre. Les animaux ont développé des anomalies comme le fractionnement du sommeil paradoxal, des troubles de la thermorégulation et une augmentation de l’appétit. Pour la 4G, les fréquences sont de 800 1800 et 2600 Mhz.
Pour Fleur Pellerin, les études sont contradictoires
Pour les associations, il faut appliquer un principe de précaution. « C’est important à l’heure où les smartphones sont partout et les tablettes tactiles entrent dans les écoles », estime Sophie Pelletier qui appelle à mettre en œuvre une « politique de santé publique ». Elle rappelle que les électrosensibles ne sont qu’une partie du problème. « Des maladies pourraient toucher les autres. », affirme-t-elle.
Pour le moment, si le ministère de la Santé est discret, celui de l’Économie numérique tente de rassurer. En janvier, Fleur Pellerin évoquait les études sur le sujet. « Elles sont contradictoires et il n’est pas question de jouer avec des peurs irrationnelles pour freiner le déploiement de la 4G. Il ne faut pas opposer l’économie et l’écologie. » Elle ajoutait aussi qu’il est nécessaire de poursuivre les recherches pour avoir plus de certitudes », mais rappelait que la 4G est un enjeu important. « Il représente un investissement de 3 milliards d’euros sur 5 ans et des dizaines de milliers d’emplois. »
Schproum - roman avorté et récit de mon mal
27 Sep 2013 | Dans Accueil, A lire (Livres) } ?>
Victime d’une série de troubles physiques inquiétants, Jean-Yves Cendrey découvre qu’il fait partie des “électro-sensibles”... Ce livre est le récit tétanisant d’une expérience authentique, celle d’une dépossession de soi, d’une mutilation de l’être. Tragique mais loin du récit de circonstance, ce texte d’intervention et de combat mobilise avec éclat sur un problème aux conséquences d’une rare gravité pour le corps collectif maltraité de la communauté humaine.
Sortie le 2 octobre aux éditions Actes Sud
Portables, wifi - Ondes : les vrais dangers
Une enquête de 4 pages vient de paraître dans le Nouvel Observateur de cette semaine.
Dans le même numéro, une page est consacrée à la sortie du roman autobiographique de Jean-Yves Cendrey, devenu EHS en 2012.
Le point de vue des éditeurs
En janvier 2012, alors qu'il travaille à un nouveau roman, Jean-Yves Cendrey se voit soudain affecté de troubles physiques aussi intenses que persistants qui l'obligent à abandonner l'ouvrage en cours.
Tandis que les médecins demeurent impuissants à délivrer un diagnostic, l'écrivain, incarcéré dans un corps souffrant inédit, affronte l'angoisse de se voir irrémédiablement glisser vers le néant. Mais, au terme de maintes épreuves, il débusque son invisible agresseur, lequel n'est autre que notre univers saturé d'ondes électromagnétiques. Contraint d'assumer son nouveau statut de « sujet électrosensible », il rejoint ainsi la cohorte de ces sacrifiés dont la pathologie fait l'objet, de la part de nos sociétés, d'un persévérant déni.
Récit tétanisant d'une année de confiscation d'existence dans la vie d'un individu, ce témoignage d'intervention et de combat où Jean-Yves Cendrey convoque avec éclat la littérature enfin reconquise donne à comprendre, de intérieur, la nature profonde de la potentielle catastrophe sanitaire que favorise la complaisance des pouvoirs publics envers le lobby des ondes. Et révèle l'exorbitant tribut payé à la modernité et à la loi du profit par d'embarrassants patients chez qui s'incarne la nouvelle forme de maltraitance qui menace le corps collectif de la communauté humaine.
Né en 1957 à Nevers, Jean-Yves Cendrey vit actuellement à Berlin. Après avoir publié, depuis 1988, une quinzaine d'ouvrages, aux éditions POL puis aux éditions de l'Olivier, il a rejoint Actes Sud pour ses deux derniers romans : Honecker 21 (2009) et Mélancolie vandale (2012). - copyright Actes Sud - photographie de couverture : Anne-Laure Jacquart / Arcangel Images
Jean-Yves Cendrey à l’antenne de France INFO le 23/09/2013
Pour la journée Allemagne de France Info, Bernard Thomasson a reçu Jean-Yves Cendrey, à Berlin, où il vit avec son épouse Marie N’Diaye et leurs enfants. Il fut certes question de la vie culturelle dans la capitale allemande, mais ce sont les antennes, au cœur de son dernier roman, qui ont nourri l’entretien. Car l’homme est EHS (électro-hyper-sensible), ce qui en a fait un Ecrivain-Hors-Service. Il raconte ses souffrances dans "Schproum, roman avorté et récit de mon mal".